Un groupe de scientifiques des Nations unies a confirmé le 9 mars que les radiations provenant de la catastrophe de Fukushima, au Japon, en 2011, n'étaient pas susceptibles d'augmenter les taux de cancer de manière discernable, et a annoncé que la hausse du cancer de la thyroïde observée chez les enfants était due à des méthodes de dépistage plus efficaces.